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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 14:21

Quoi dire... Littérature de gare américaine ; vocabulaire limité et grossier ; beaucoup de répétitions inutiles ; fixettes sur les «barres chocolatées» et la différence entre «plan baise» et «plan marital» ; descriptions administratives des personnages, des vêtements, des rues... Bon, le fond tient la route et la couverture du format poche est attirante. Finalement une seule aventure de Stéphanie Plum, chasseuse de primes, me suffira:-)

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 09:56

Un petit bijou ! Quelle maîtrise de la langue et quel talent pour transmettre en quelques mots bien choisis autant de beauté, autant de sentiments. C'est une histoire de cœur où l'amour a la première place et passe outre de la mort elle-même ; c'est une histoire de vie où le cœur est à l'honneur, le cœur dans tous ses états ; c'est une histoire qui pourrait être vrai...

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 15:31

Finalement, je suis très triste... J'en avais entendu parler, j'avais lu les critiques, j'avais entendu l'auteure à la radio et je m'attendais à quelque chose de sociologiquement intéressant et qui plus est,d'hilarant. Et bien non, c'est juste un commentaire (documentaire) composé un peu simple... Du vécu, sûrement, mais le rendu n'est clairement pas d'un niveau bac+5. Très déçue aussi du buzz qui accepte qu'une littéraire écrive : « ..lire une ou deux nouveautés vendues dans l'espace (point trop de zèle tout de même). » et ce, sans broncher. Ou encore, un micro chapitre d' « Histoires belges » où il n'est pas question de faits amusants mais juste d'accent. Désolant:-(

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22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 13:47

C'est une petite histoire insérée dans la Grande; une énigme à la cour d'Henri IV, «nostre bon roy»; quelques meurtres dont celui du Vert Galant lui-même qui plongera la France dans plusieurs années de grands désordres; une histoire où le soucis du détail fait revivre pleinement les mœurs de l'époque. Écriture fluide, vocabulaire riche sur fond d'une grande recherche historique, très agréable à lire. Ça faisait longtemps que je n'avais plus ouvert un Benzoni et c'était une erreur:-)

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22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 09:27

Suite de «L'espace d'une vie», ce roman aurait aussi bien pu ne pas être écrit vu le peu qu'il apporte. On y retrouve tous les membres des familles Harte, O'Neill et Kallinski, les rêves et les amours des uns mais aussi les jalousies et les méchancetés des autres. Contrairement au premier roman qui s'étend sur une vie, cette brique de 700 pages couvre à peine deux années où les évènements sont un peu trop «arrangés». Inintéressant tant sur le fond que pour le forme!

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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 17:06

Comment dire : «C'est un beau roman, c'est une belle histoire, c'est une romance d'aujourd'hui...». L'histoire d'une enfant qui, à force de persévérance, de courage, d'amour et d'intelligence, arrivera à se hisser au sommet tout en assumant sa vengeance! Un roman bien écrit qui se lit facilement, un roman d'hôpital quoi:-)

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 11:56

Ce roman est une promenade médico-culturelle dans le monde méditerranéen au 1er siècle de notre ère. On découvre ainsi les différentes approches de la médecine populaire suite aux tribulations d'une toute jeune guérisseuse qui se retrouve impliquée dans l'imbroglio politique des grands du monde romain. Recherches historiques pointues aussi bien médicales que politiques, vocabulaire riche et écriture fluide, tous les ingrédients d'un roman réussi. Un des premiers Barbara Wood, digne des suivants beaucoup plus connus en tant que best-sellers.

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 15:29

Un homme qui crée des êtres à son image est-il un dieu ; les êtres ainsi créés peuvent-ils vénérer leur créateur comme un dieu ; tout être doué de raison doit-il s'inventer un dieu pour améliorer sa condition ; les humanoïdes pensants sont-ils alors des hommes ou restent-ils des objets... Et si le cadre fait bien partie de la science-fiction, la réflexion, elle, est philosophique. Un tout bon Silverberg:-)

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 17:03

Bon, je suis fatiguée, je subis le blues d'un long WE trop cool et en plus, il fait gris... mes lectures s'adaptent :-) J'adore cet écrivain..., ses livres me détendent, me font rire et pas besoin de se prendre la tête pour comprendre. Seul hic, ça se lit bien trop vite !

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12 février 2012 7 12 /02 /février /2012 17:49

C'est le roman de l'amour... qui résiste à la mort, qui traverse les siècles.  C'est le roman de la vie... où pour construire et aimer il faut d'abord s'atteler à sa propre individualité.  C'est le roman de l'espoir... où l'auteur nous parle du «Combat de l'Utopie contre la Foire aux Vanités». C'est de la belle littérature où tout est riche, les mots, les phrases, les sentiments...  Pour amateurs de belles lettres, pour amoureux de belles histoires :-)

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