19 juin 2015
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Dernier opus du cycle appelé dans les nouvelles éditions : « Ces demoiselles de Bath ».
L'auteure nous interpelle une fois de plus sur la pauvreté d'une éducation sans générosité, sans ouverture à la différence, sans réelle humanité ni vraie culture ; une éducation rigide d'un ensemble de règles édictées manifestement au temps des dinosaures et qui ont dû attendre l'arrivée du « féminisme » pour être plus ou moins dépoussiérées.
Un roman rouge bien écrit qui fait réfléchir sur la condition féminine mais qui manque quand même d'un peu d'humour à la Julie Garwood pour être parfait.